La révolution Tunisienne n’est ni portée par l’art ni génératrice d’art … Et c’est là un autre paradoxe de cette révolution … Face à ce vide, les foules sont allées fouiller dans le patrimoine culturel du pays et s’inspirer du célèbre poème de Chebbi « la volonté de vivre » et faire des mots « Le peuple veut » un préfixe à leurs revendications … … Et, jusqu’à ce jour, les artistes peinent à trouver le mot, la musique, l’acte théâtral, le tableau pictural qui expriment cette révolution …