Les vieux routiers de la classe politique, actifs et connus avant la chute de Ben Ali, et membres de la Constituante, adoptent une attitude de réserve, s’exprimant avec parcimonie et envoyant à l’affrontement direct des jeunes lieutenants de leurs partis … J’ai choisi pour trio, dans cette catégorie : Néjib Chebbi, Ahmed Brahim et Moncef Marzouki … Mustapaha Ben Jaafar serait dans le même club s’il n’a déjà accédé aux responsabilités en tant que Président de la Constituante et est, à ce titre, obligé d’intervenir constamment dans les débats, mais plus en tant qu’arbitre qu’en tant de chef de parti … Moncef Marzouki, quant à lui, promis à la Présidence de la République se tait, apparemment, pour laisser se dérouler tranquillement le scénario de son intronisation … Ainsi va le monde … Ainsi va la Constituante Tunisienne … Et le feuilleton continue … Avec, en épilogue, un certain avenir de la Tunisie … Incertain !

By RL

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