Le karakouz de Hechmi Hamdi se poursuit et, maintenant, se décline dans sa version parlementaire. Dès la première séance, les élus qui se réclament de lui ont semé le trouble dans l’Assemblée. Espérons que les élus représentatifs de la Tunisie du progrès et de la raison sauront neutraliser ce karakouz, ennuyeux en fin de compte.