Facebook. C’est le réseau social le plus utilisé en Tunisie. Il a été très présent lors de la révolution tunisienne jouant un rôle moteur dans l’élimination de la barrière de la peur à travers un partage d’opinions et l’émergence d’une solidarité. Après la révolution, Facebook joue encore un rôle dans le contrôle des décisions du gouvernement provisoire. Toutefois, le niveau du débat d’idées reste très limité sur le réseau. Un grand effort est à faire pour que cet espace devienne un lieu d’échange d’idées fructueux.Pour cela il faudrait que les moins jeunes s’investissent dans le réseau et brisent les cercles fermés des plus jeunes. Un dialogue et un partage entre les générations doit se faire sur Facebook. Il y va de l’avenir de la culture politique des jeunes, c’est à dire de l’avenir de la Tunisie.